12 heures dans Lai Châu et les paysages de Mù Cang Chải

22 05 2013
Mù Cang Chải

Mù Cang Chải

Depuis Hà Nội j’ai acheté un tiquet d’autocar pour aller à Mù Cang Chải, un lieu qu’en cherchant par internet j’ai trouvé d’un hasard, puisque quand je parlais à d’autres voyageurs ou même aux Vietnamiens, ou ils ne connaissaient pas la village ou ne savaient rien à propos de cela, jusqu’à la bible du voyageur, le lonely planet (à propos, c’est de plus en plus, pour des voyageurs ou des touristes de classe moyenne supérieure, a perdu l’esprit routard et au moins elle a cessé d’être pour moi une guide pratique) elle ne dit rien sur ce lieu.

Quand m’ont-ils réveillé dans l’autocar, ai-je vu que je n’étais pas dans Mù Cang Chải mais dans Lai Châu, environ 200 kilomètres plus loin de ma destination, la chose qui d’une entrée me crispe, puisque j’avais répété le nom du village au moins 20 fois, jusqu’à ce qu’il m’a semblé qu’il était plus que claire où je voulais aller, donc après m’être trouvé à quelqu’un pour mon colère les traduire en Vietnamien et arriver à l’accord dont ils m’emporteraient au retour jusqu’à Mù Cang Chải, 12 heures d’attente me restaient jusqu’à ce que l’autocar sortît et j’ai décidé d’aller donner un tour par le village et ses environs. Le village rien spécial, mais quand tu sors de ses rues pour te mettre à la partie la plus rurale, tu te trouves les champs d’un thé qui couvrent une grande partie de la surface de la proximité et où se promener c’est agréable non seulement par la tranquillité laquelle on respire, mais aussi par la vue.

Finalement à 24:00 heure à peu près, je suis arrivé à Mù Cang Chải, une heure mauvaise, pour arriver à n’importe quel endroit, quand comme moi, tu n’as pas de chambre réservée, mais heureusement je me suis trouvé avec un garçon qui s’occupe à faire la route entre la Chine et le Vietnam qui après m’avoir invité à quelques épis de maïs à la braise, m’a aidé à trouver un guest house à un bon prix.

Mù Cang Chải c’est un petit village, sans tourisme et d’une entrée il semble que les paysages ne sont pas rien de l’autre monde, mais seulement il faut sortir pour marcher par les montagnes qui l’entourent, pour voir que des vues avec enchantement est ce qui reste à cet endroit. Les meilleurs paysages sont les créés par l’homme, puisque ici ils s’occupent de la culture du riz, mais à ne pas disposer de beaucoup de terrain plat, ils font des carrés de forme échelonnée par les versants des montagnes et j’ai eu le sort dont maintenant ils préparent les terrains pour planter, donc plusieurs sont déjà pleins de l’eau que reflète la lumière du ciel, en créant un paysage incroyable. D’être un lieu sans tourisme, le problème consiste en ce que les conversations se limitent à celui que l’un peut expliquer avec signes et des dessins et à que si quelqu’un comme moi est reste plus de temps du prévu, le maître du guest house peut être commencé à faire peur, puisqu’il fait un moment, l’un des travailleurs est apparu avec un agent de police dans ma chambre, ils portaient quelques papiers pour inscrire mon entrée au village et pour voir combien de temps je vais être là, la chose que je ne projète pas, simplement quand j’ai déjà un appétit de changement, je prépare le sac à dos et pars, il a été amusant, puisque l’agent était sympathique et je crois qu’elle était plus forte la curiosité qu’il avait que le professionnalisme.

Sûrement dans 2 ou 3 jours je suivrai le chemin, pour le moment je vous laisse avec les photos que j’ai faites jusqu’à présent et quand je partirai déjà je finirai de mettre celles que je fais ces jours.

Les photos


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